129 - Clap de fin

Fini, terminato, game over...

Je baisse le rideau, le ferme, et y mets un gros cadenas.... :-)



Je ne me livrerai plus ici, n'y raconterai plus ni ne montrerai plus rien.

J'ai à présent bien d'autres choses à faire ailleurs, dans la vie réelle et non virtuelle ! ;-)))

Découvrez Sivuca!

128 - Money Money Money (Sonnantes et trébuchantes)

L'émission "Des Racines et des Ailes" de la semaine passée m'a donné envie de visiter le musée de la Monnaie, situé sur le quai Conti à Paris.

Bonne nouvelle, on peut également y prendre des photographies !

Je voulais prendre en photo un trébuchet, mais je n'en ai pas vu (ou pas fait suffisamment attention !). La dernière fois que j'ai utilisé ce nom, trébuchet, c'était sous forme de devinette (et il s'agissait d'un nom propre, et non d'un nom commun)

-Qui est Sophie Trébuchet ?

Bon, impossible de chercher à coller quelqu'un avec cette question par ordinateur, Wikipedia donnera la bonne réponse immédiatement ! Bon, mais étant donné que je ne pourrais poser cette colle à chacun en tête à tête.. ben cherchez sur Wikipedia !!! ;-))

Le nom commun trébuchet désigne une petite balance destinée à peser la monnaie (c'était aussi, au Moyen-Age, une pièce d'artillerie utilisant un système de balancier). Donc, la monnaie trébuchante était celle qui avait passé l'épreuve du trébuchet, et comportait bien le poids de métal requis. La monnaie sonnante, elle, indiquait au son qu'elle faisait et reconnaissable par l'oreille experte, qu'elle était composée du bon métal et qu'il n'y avait pas de fraude sur la monnaie.

Des pièces, il y en a à travers tous les siècles. Le plus simple était donc de les enchâsser dans de grands panneaux de plexiglas.

Pièces, sceaux, poinçons, tables de travail, machineries.... Il y avait de quoi s'intéresser et regarder pour plusieurs heures... Ce que j'ai fait !

Et j'ai enfin pu voir en intégralité la collection complète des pièces émises en euros ! (ma dernière prise, c'est la 2 centimes grecque)

127 - Flaques et lumière

Météo très particulière, hier, sur Paris...

La tempête qui s'est abattue sur le Sud du pays a survolé notre région, se contentant de sacrées bourrasques de vent qui ont balayé en fin d'après midi les gros, très gros, nuages noirs qui plombaient le ciel.

Le soleil a fini par percer, alors qu'il allait presque disparaitre à l'horizon.

En fin d'après midi, plus de vent, plus de nuages...

La Cour du Louvre, les Tuileries.. tout était magnifié par cette lumière !

Sans pyramidon de verre

Avec pyramidon de verre

Place à une belle soirée !

126 - Pain, sésame et fantaisie

Il suffit de peu de choses, parfois, pour vous faire naître un joli sourire sur les lèvres...

Aujourd'hui, ce fut juste un petit quelque chose, qui m'a fait traverser en quelques fractions de seconde, la distance qui sépare Paris de Montréal. La traversée, c'est souvent pour certains un moment joyeux qu'ils se doivent de mettre en chanson :

Mais laissons tomber la musique, et ces belles images de traversée de l'océan... Ce que j'ai vu ce matin en faisant mes courses, c'est quelque chose que je désespérais retrouver de ce coté de l'océan, et que j'achetais par paquets de douze rue St Viateur à Montréal.

Vous savez de quoi je parle ? Tout simplement des bagels !

Ah, ben c'est quoi, ce truc ?

Juste des petits pains ronds, avec un joli trou au milieu.

Petits pains nature, mais encore aux graines de pavot ou de sésame. Si vous voulez en savoir plus, c'est ici que cela se passe.

Les derniers que j'ai mangés à Montréal, ce fut avec Véronique... Les premiers que j'ai mangés à Paris, ce fut ... avec Véronique aussi, dans un restaurant de la rue des Rosiers :-)).

Mais je rêvais de pouvoir en déguster à la maison, tout simplement. Et impossible de trouver de bagels dans le moindre commerce d'alimentation (hormis des bagels nature congelés, chez Picard)

Mais, ce matin, un petit clin d'oeil du hasard, qui venait me rappeler que mon grand départ du Québec datait d'un tout petit peu plus d'un an, en me proposant dans les rayons du Leader Price, de jolis bagels au sésame et au pavot !

Devinez ce que nous avons mangé ce midi, avec du saumon et du fromage à la crème ? :-)))

Il semble à peu près acquis que j'en mangerai à nouveau l'an prochain, en automne, que j'achèterai rue St Viateur (il faut bien que je dépense l'argent de poche qui me reste sur mon compte canadien !), mais cela, c'est du moyen terme... Pour le court terme, le prochain voyage sera pour dans quelques semaines, et sera européen, mais dépaysant... Les catalogues de voyages commencent à s'accumuler à la maison, et il est temps que j'affute mon appareil photo !!! :-)

123 - Coquille

Avant que le Canard Enchainé ne s'en empare pour alimenter sa rubrique...

Vu dans le journal gratuit "20 minutes", ce matin.

La crise est une belle vacherie qui va finir par mettre pas mal de personnes dans la m...., et les choses risquent d'aller de mal en pis !

20 minutes, je suppose que cela doit faire référence au temps qu'il faut pour "lire" ce chef d'oeuvre. Je pense plutôt que c'est le temps qu'il faut pour le rédiger. Quant à la lecture, cela me prend bien moins que cela !

Mais on leur pardonne, aux rédacteurs ... ! :-)))

122 - Froid en région parisienne - Même le canal se gèle les eaux !

A Paris, le Canal Saint Martin s'est figé depuis déjà quelques jours.

A Meaux, juste à côté de chez moi, je n'avais pas encore pu voir si le canal de l'Ourcq avait lui aussi eu dés velléités de vouloir imiter le Saint Laurent en hiver.

Aujourd'hui vendredi, comme je suis rentré dans le courant de l'après-midi, cela ne m'était pas difficile de justement longer le canal afin de voir ce qu'il avait décidé de faire : couler comme si de rien n'était, ou bien prendre un déguisement de banquise.

Certes, on était loin des décors de " la marche de l'Empereur". Pour autant, ce n'était pas non plus le paysage rêvé pour peindre un tableau dans le style "Déjeuner sur l'herbe".

Le canal est gelé, c'est indéniable. Bon, on n'y ferait pas du patin à glace, mais pas davantage de pêche à la ligne !

J'ai également remarqué un curieux petit animal qui courait sur la glace, le long de la berge et, qui, lorsqu'il a remarqué ma présence, s'est empressé de glisser sous l'eau par un petit trou dans la glace pour disparaitre.

J'ai attendu quelques instants qu'il refasse surface. De très loin, j'avais d'abord pensé à un simple rat d'égout (beuark !) mais j'ai assez rapidement écarté cette idée.

Une tête de castor, un pelage tirant sur le roux, une queue longue et épaisse, des pattes un peu palmées... Cela offrait le choix entre un ragondin et un rat musqué. Il ne me semble pas qu'il s'agisse d'un ragondin, qui doit être un plus gros animal, et possède des incisives orange. Je pense vraiment que ce doit être un rat musqué. Quoiqu'il en soit, l'un ou l'autre ne sont pas des animaux indigènes, et ont tous les deux été importés du continent américain à la fin du XIXème siècle, pour leurs peaux. Les deux espèces prolifèrent aujourd'hui de manière incontrolée, et sont considérées comme nuisibles.

Mes photos ne sont pas très nettes car ce sont des agrandissements faits eux mêmes après zoom. Mais on voit quand même assez bien la bestiole...